vendredi 12 avril 2013

page 74 (bis)

XXXIV.
Je pose.
"Zadig" de Voltaire a été inspiré par Dieu.

Ainsi.
"En fait, l'ermite était l'ange Jesrad et il dit à Zadig qu'il avait fait ces choses car elles avaient apporté par la suite du bien (le philosophe trouvera une réserve d'or sous sa maison et le neveu aurait tué sa tante) et que les maux étaient nécessaires. Aussi, qu'il n'y avait pas de hasards, que la Providence. L'ange explique le sens de la vie: "il est important de se faire à l'idée que le mal est un élément nécessaire à l'ordre du monde et à la naissance du bien." Zadig n'est pas totalement convaincu... Étonnamment, ce passage est directement inspiré de l'une des sourates du Coran: Sourate La Caverne (S. 18. V. 60-82), lorsque Moïse accompagne un être mystérieux doué d'une grande connaissance à travers son périple."

Je pose donc.
En tant que figure mythique.
Ma sœur (Lilith, la rebelle de Dieu sauveuse de l'Humanité (en tant que magicienne qui communique avec les humains via la sorcellerie (sectes messianiques-millénaristes-utopistes et ufologiques) et les hallucinations, créatrice du Vin (qui permettra le débat "Le Banquet" de Platon sur le concept d'Amour)) ; ou Lucifer en tant que "Porteur de Lumières", c'est à dire : Chef des Muses).
Sera l'Ange Jesrad ; celui-ci guidera le Grand Monarque-Pharaon dans l'établissement du Califat néo-français.

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