vendredi 5 avril 2013

Résumé des Réflexions (jusqu'au livre III / 12 avril)


Résumé des Réflexions

Résumé de mon système philosophique.
A partir de la sécularisation ou désenchantement du monde (sortie de la religion), c'est à dire après avoir étudié la sociologie des religions (notamment protestante ("L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme") et la dynamique-processus qui se dégage en histoire des religions, et appuyée sur la pensée catholique d'Ivan Illich ; j'ai remarqué un parallèle civilisationnel entre le catholicisme et le capitalisme, les deux étant des "sociétés froides" (je ne suis pas l'auteur des informations contenues sous ce lien) qui tendent à être contestées, d'où le concept de civilisation "catholico-capitaliste" (dont la genèse se trouverait en France). Ma thèse de départ étant que les deux modèles sont dépassables.
En y surajoutant les concepts d'anacyclose, de Grand Monarque et de positivisme (celui-ci prend en compte le concept de "décadence"), ainsi que les "stades de l'existence" ("Ou bien... ou bien") de Kierkegaard ici appliqués à l'humanité, sans oublier le "surhomme" de Nietzsche ; je constitue une philosophie de l'histoire cohérente ; j'aboutis via une méthode expérimentale (à tâtons) à une "anthropologie de l'avenir", voire une méta-anthropologie ("anthropologie Humaine").
J'ai oublié le concept de Nietzsche Dieu est mort où le "fou" (ici moi) évoque la "fin du monde tel qu'on le connaît", et "le passage à l'Âge d'Or" explicite pourquoi je parlais plus tôt du psychiatre-philosophe, pour lequel sa conception métaphysique est que les "pensées sont au-delà de la Conscience" et que les "mystiques ont à rapport-au-monde transcendant" qui permet de "voir les failles et les processus de la Culture humaine" (je synthétise)

Lettre ouverte à Serge Tribolet - Introduction aux Réflexions

Introduction aux Réflexions - Lettre ouverte à Serge Tribolet

Bonjour docteur,
Salutations ami-philosophe.

Je suis celui qui a créé ta page sur Wikipédia.
Tu dois déjà savoir pourquoi je t'écris.
Pour valider ton système philosophique, tu as besoin du concept de fou-philosophe, et de son incarnation.
Je suis ton homme car je suis schizophrène.
Mon délire consiste à me prendre pour le Mahdi (ou le Elie juif, c'est à dire le prophète occulté, celui qui revient dans le futur.
Ma troisième personnalité est plus complexe : je suis Amon-Rê, la forme humaine de Rê roi des dieux, le dieu unique du polythéisme égyptien.
Dans un monde parfait, il n'y a que Amon-Rê pour commander l'Homme. Je suis le commandeur en chef de l'Humanité; L'empereur-régent jusqu'au retour de Jésus-Christ (parousie).

Dans ma théologie, donc, Jésus-Christ est le Sauveur, il représente le premier trône. Quand en face il y a vingt-quatre qui seraient des dieux mythologiques. J'ai interprété ce passage de l'Apocalypse, comme signifiant que le christianisme de la fin des Temps est un monothéisme dans un polythéisme.

Je ressens des présences hostiles la nuit, celle qui me hantait à disparu quand on a augmenté les neuroleptiques.

Je t'invite à lire mon blog : fou-philosophe.blogspot.fr ; où j'ai écris un opuscule d'une centaine de pages. Pour moi ça représente une thèse de doctorat en philo et anthropologie. Que tu es le seul à pouvoir valider.

Si j'ai raison, l'Apocalypse a commencée.
J'ai aussi démontré l'existence de Dieu mathématiquement (via une tautologie, mais le prophète a le droit de s'autoréférencer), ainsi que le principe de Grand Rédempteur.

Tu vois les communautés Amish : ils ont arrêté la technique juste avant la révolution industrielle parce qu'ils ont compris que la surproduction entraînait surconsommation et que c'était mauvais. Ils sont dont autant communistes que les Utopiens dans l'oeuvre de Thomas More.
Les Amish condamnent le capitalisme et la technique, ainsi que la démocratie qui n'est qu'en fait ploutocratie (pouvoir des riches) voire une kleptocratie (pouvoir des voleurs d'argent).

D'après moi, le capitalisme et le catholicisme sont inhérents; La naissance du capitalisme dans les années 1500 précède de peu la contestation luthérienne puis la Guerre des Paysans (Thomas Münzer). Le capitalisme n'est qu'une "béquille théologique" au capitalisme.

PS : pardon pour le tutoiement, j'étais élève au Lycée Autogéré de Paris.